Jean-Baptiste, promo 2000, directeur de l’innovation à l’agence Comptoirs
Issu de l’une des toutes premières promotions de l’IIM, Jean-Baptise Simonnet a l’expertise d’un homme au riche parcours professionnel. Aujourd’hui directeur de l’innovation au sein de l’agence de conseil Comptoirs, il porte fièrement les valeurs que lui ont enseignées son parcours à l’IIM : créativité, dépassement de soi et management par l’humain.
A peine un an après l’ouverture de l’IIM, Jean-Baptiste Simonnet choisit de faire confiance à la toute jeune école. A cette époque, l’IIM état encore en train de trouver sa voie, et ne comprenait pas encore les cinq axes d’enseignement actuels (Communication Digitale et E-business, Jeux Vidéo, Animation 3D, Création & Design et Développement Web). Cependant, Jean-Baptiste y décelait déjà des méthodes pédagogiques uniques, axées sur l’accompagnement des étudiants et la pluridisciplinarité.
Aujourd’hui professionnel du digital épanoui, il est reconnaissant envers l’IIM pour lui avoir enseigné les compétences essentielles à toute personne souhaitant travailler dans le digital. » L’IIM porte une vision pédagogique unique qui a pour but premier d’aider les étudiants à mieux s’accomplir. L’école est un précurseur, et je lui dois beaucoup ». Témoignage d’un ancien étudiant qui n’hésite pas à promouvoir l’IIM aux candidats des futures promotions lors de Journées Portes Ouvertes.
Jean-Baptiste, une rapide ascension
J’ai commencé ma carrière chez Publicis en 2000 en tant que chef de projet technique au sein de la structure Publicis Networks (connue aujourd’hui sous le nom de Marcel Agency). J’y suis resté 5 ans, évoluant vers l’account management assez rapidement pour gérer des budgets comme Renault, L’Oréal ou Club-Internet. C’était une période particulière, très mouvementée d’un point de vue digital avec l’essor des premières startups aux IPO gargantuesques suivi de l’éclatement de la première bulle internet.
Cette période a précipité la chute des géants de l’époque (Yahoo, Excite, Altavista…) et, par aspiration, a favorisé l’essor des titans actuels. Cela a radicalement changé le paysage digital français et a provoqué une sorte de « wake-up call » chez moi. Je me suis mis à la recherche de nouveaux apprentissages et challenges.
A partir de 2005 et jusqu’en 2014, j’enchaine différents postes, de directeur de projet en banque à directeur conseil en SSII (entreprise de services numériques), ce qui me permettra d’affuter mes connaissances sur les méthodologies émergentes : Agilité, UX et Intelligence collective.
En 2015, j’ai voulu allier ma passion pour les nouvelles technologies avec le management. J’intègre l’agence Comptoirs et j’y créé le département « innovation ». Mes missions aujourd’hui sont multiples : je définis les visions novatreices de l’agence, je la représente, je pilote ou alimente la stratégie d’innovation de mes clients, je recrute et accompagne mon équipe et enfin je co-construis les offres associées. Il m’arrive également d’intervenir dans des conférences professionnelles, principalement autour de l’IA.
Actuellement, en termes de projets professionnels, j’aimerais continuer à développer l’innovation pour mes clients bien sûr, mais également pénétrer l’écosystème « investisseurs-startups » en repensant le modèle des startups studios, modèle qui me semble peu adapté aux besoins de cet écosystème.
L’IIM, véritable précurseur dans le domaine du digital
C’est mon père qui, en feuilletant un magazine, a remarqué un encart sur la création d’une nouvelle école « du multimédia et de l’internet », l’IIM. Nous sommes en 1996, je venais de terminer ma première année en IUT d’informatique et je prenais alors conscience que j’aspirais à autre chose que le développement logiciel. Passionné depuis mon plus jeune âge par les ordinateurs, je m’étais déjà équipé pour être connecté à Internet et je rêvai alors de pouvoir y prendre part, moi aussi. Cette école devenait alors une évidence.
Si le cursus scolaire était différent d’aujourd’hui – 4 ans de scolarité, formation de « manager » uniquement – les fondamentaux étaient déjà là : pluridisciplinarité, apprentissage par empirisme et approche par l’humain du management.
Avec le recul il serait facile aujourd’hui de dire que j’avais senti à l’époque la naissance de « la nouvelle économie ». Il n’en était rien, bien évidemment, mais il y avait une vision des métiers à venir que l’IIM portait, et qui m’a touché et convaincu. L’école m’a énormément appris, en particulier ces trois compétences fondamentales : persévérance, résilience et curiosité.
C’est avec plaisir que je suis retourné à l’IIM lors d’une après-midi porte ouverte. Je trouve que l’école a beaucoup pris en maturité, elle est sûre d’elle et de ses atouts. Elle a changé, a suivi l’évolution du secteur et des métiers, sans perdre ce qui fait sa singularité. Il suffisait de voir le sourire des étudiants et l’implication et la conviction qu’ils communiquent lors des JPO pour en être assuré. J’aurais seulement trois conseils pour eux : work hard, be kind, have fun and make a difference !
Intéressé(e)s par les métiers du digital ? Retrouvez les axes métiers sur le site de l’IIM, Grande Ecole du Digital.