Conférence Open3 : en fait-on trop avec le web3 ?
Open3, c’est le cycle de conférences de l’IIM autour de l’open innovation, de l’open data et de l’open source. Pour cette première autour du sujet du Web3, le campus de l’Arche recevait Frédéric Cavazza, directeur de Sysk, et Fanny Parise, anthropologue, en partenariat avec l’ADN.
En fait-on trop avec le Web3 ? Le débat est lancé !
Open3 est porté entre autres par Nicolas RAUBER, responsable de l’axe métier Coding & digital Innovation de l’IIM Digital School. La conférence sur le Web3 est en partenariat avec l’ADN, le média qui rend compte tous les jours de l’actualité de l’innovation, du marketing, de la communication et de la publicité en France et à l’international.
Le web3 : un sujet complexe au cœur de l’actualité
« Le Web3 est un sujet complexe, il y a beaucoup de concepts à aborder lors de cette conférence, qu’ils soient économiques, fonctionnels ou sociaux. Je ne sais pas si on en fait de trop avec le Web3, mais je pense que c’est important d’expliquer ce sujet à des jeunes qui vont bientôt entrer dans la vie active. On est sur un ensemble de nouveaux usages, sur une dynamique très différente de celle du Web 2.0, notamment avec les mobiles et les réseaux sociaux.
Le but du Web3, c’est de casser le monopole des plateformes numériques, c’est également d’essayer d’avoir une dynamique communautaire, de s’adresser à moins de monde mais de fédérer autour d’un projet. » – Frédéric Cavazza, directeur de Sysk.
« Le Web3 va forcément amener à des incidences anthropologiques : les changements techniques vont transformer notre quotidien et notre société. Le futur peut être cool, il est déjà dans nos mains, avec les smartphones, mais tout va dépendre de nous et de notre capacité à percevoir les bons choix ou les mauvais choix. La technique ne sera pas une fin en soi, mais un moyen d’atteindre un nouvel idéal de vie. » – Fanny Parise, anthropologue.
Pour tout apprendre des métiers du Web3 et de l’open source, retrouve les programmes du bachelor Coding & Digital Innovation de l’IIM Digital School.