La promo 2024 en mastère Interactivité et UX Design apprend le prototypage d’objets connectés
Pendant une semaine, 50 étudiants ont pu s’initier au prototypage d’objets connectés, aidés des outils mis à leur disposition au Creativ’ Lab de l’IIM Digital School.
Un module qui leur permet d’appréhender l’UX au-delà du web et du mobile.
L’UX appliqué au prototypage d’objets connectés
Les étudiants en Interactivité et UX Design travaillent sur des objets connectés
Les étudiants en Mastère Interactivité et UX design apprennent à innover et à créer des expériences, des produits, des services où les utilisateurs et les usages sont au centre de la réflexion. L’apprentissage est orienté autour de deux grands axes : design et technique.
Au sein de ce mastère, les étudiants apprennent également à appliquer l’UX au développement d’un objet connecté. En une semaine, ils découvrent ce qu’il est possible de mettre en place avec des plateformes de prototypage comme arduino, des microcontrôleurs comme esp32, des nano-ordinateurs comme raspberry pi, etc. Ils apprennent aussi à manipuler des inputs (boutons, capteurs…) et outputs (moteurs, lumières, matrices de led…).
Enfin, ils développent également leurs compétences manuelles, en fabriquant leurs objets connectés à partir des outils du Creativ’Lab, le mini fablab de l’IIM : imprimantes 3D, soudure, gravure, résine, etc.
SELOE : exemple d’objet connecté prototypé par les étudiants
Les étudiants travaillent sur un jouet connecté pour aider les enfants autistes à communiquer leurs émotions
Prototype de Seleo, la peluche pour aider les enfants autistes
Développé par Mélodie Chan, Hugo Hervieu, Camille Dahan, Minal Lad et Nicolas Mora, étudiants en mastère Interactivité et UX Design, SELOE est un jouet qui pourrait aider les enfants autistes à mieux communiquer leurs émotions à leurs parents.
« Nous avons la volonté de proposer une solution qui recense les émotions de l’enfant pour qu’il puisse les partager à ses parents. »
Le jouet serait accompagné d’un carnet de bord avec une courbe évolutive pour que les parents puissent suivre les émotions renseignées par l’enfant via l’objet. Les étudiants ont donc imaginé une petite pieuvre avec une matrice en led qui change en fonction de l’humeur de l’enfant, une structure imprimée en 3D, une led, un carton mousse, et des boutons à l’intérieur des tentacules.
Couture, code, impression 3D, électronique, câblage, toutes ces étapes ont été ainsi nécessaires à la conception de la petite peluche.
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