Mehdi Boumendjel, promo 2013, freelance, entrepreneur, Senior Creative Lead
Mehdi Boumendjel, promo 2013, a toujours été passionné de web, de design et de communication digitale. Il crée son premier site de jeux flash gratuits à 14 ans et après une première année post-bac en informatique de gestion, il décide d’intégrer l’IIM.
Après un Bac Scientifique, comme beaucoup de bacheliers, je n’avais pas vraiment eu le temps ni l’aide nécessaires pour réfléchir correctement à mon parcours tant éducatif que professionnel. La seule chose que je savais, c’est que je ne m’arrêterai pas au Bac.
Ce que je savais : le web et la création digitale étaient pour moi plus qu’un hobbie, c’était une passion.
L’entrée à l’IIM en première année de Bachelor post-bac
J’ai décidé de conforter ces connaissances par l’obtention d’un diplôme informatique. C’est alors que je me suis retrouvé en BTS Informatique de Gestion. C’était ce qu’on pouvait appeler un mauvais choix (mauvais choix qui reste une expérience de vie que je ne regrette pas), le cadre ne me plaisait pas, je ne rentrais pas dans le moule, le manque de créativité m’étouffait.
Rien de mieux pour savoir ce que l’on veut faire, que de faire quelque chose que l’on ne veut pas faire… En voyant que ça ne me plaisait pas, j’ai effectué des recherches et suis rapidement tombé sur le pôle Léonard de Vinci (l’avantage d’avoir 3 grandes écoles à La Défense, c’est qu’on est facilement trouvable)
Le programme Préparatoire de l’IIM m’a tout de suite séduit : 3D, Web, Crea, Com. J’ai signé…C’est à ce moment-là que la vraie aventure a commencé !
Hormis le contenu des cours, le plus gros avantage du cursus à l’IIM, c’est sa présence au sein du pôle Leonard de Vinci. Une vie associative développée et des étudiants de tous horizons aspirant à différentes choses. (Ingénierie, Marketing, Creation, Finance, etc..). Je place l’humain à l’épicentre de tous les avantages de ce cursus.
Une insertion rapide sur le marché de l’emploi
Par le biais des stages, l’IIM est une formation qui nous intègre rapidement sur le marché de l’emploi. La formation suivie est également très recherchée dans un monde où être digital n’est plus une option. Cela s’est donc fait de manière très naturelle en tissant un réseau de plus en plus important, jour après jour.
En 2006, j’avais déjà créé mon premier site de jeux flash gratuits (feu Flash) où l’internaute pouvait gagner des points à échanger contre des cadeaux de tous types (consoles, électronique, livres, etc..). Inspiré par le succès de cette offre, j’ai fondé DieuDesJeux, un guide des jeux en ligne. Un succès avec plus de 200.000 Visiteurs uniques, son modèle SEO l’a rapidement propulsé en top position des mots clés les plus concurrentiels (jeux, jeux gratuits, etc…) Un an après le lancement de l’offre, il fallait penser à un business model plus avancé. J’ai ainsi intégré des catégories Poker et Casino faisant du site un media important pour ces plateformes de jeux, le marché français leur étant à l’époque totalement fermé (monopole de la FDJ). Leur unique moyen de communiquer était donc via internet. Une aubaine pour le petit entrepreneur que j’étais.
En simultané, j’ai créé MadGraph, entreprise individuelle me permettant de travailler en tant que freelance dans la direction artistique digitale pour les agences, ZeeAgency, SameSame USA, DDB, RealMad, Extreme Sensio, NoSite, Castor&Pollux, etc…
En 2011, je manageais la production digitale au sein de l’agence Dagobert. En 2013, je me suis installé à New York, pour travailler au sein de l’agence Fullsix NY pour une mission de direction artistique et de stratégie digitale.
En 2014, Avec deux associés, nous avons créé Tunsy Inc. basée à NY. Tunsy est une application de shopping capable de comprendre ce que vous aimez. En simultané, en 2016, j’ai intégré la société John Paul, service en conciergerie, en tant que Senior Creative Lead- UI & UX et m’occupe de l’ensemble des productions créatives de l’entreprise.
L’IIM, une école tournée vers la professionnalisation de ses étudiants
Pour être sincère, l’IIM, c’est l’école de la débrouille, on est vite obligé de trouver des solutions, de mettre les mains dans le cambouis, de chercher sur internet comment on fait etc… Ce que je pensais être un point négatif à l’époque s’est transformé au final en un point extrêmement positif puisque de manière générale dans la vie, c’est comme ça que ça se passe. Si on ne se bouge pas pour trouver une solution, personne ne le fera pour nous. Autant rapidement apprendre à être autonome.
Avec le recul, l’IIM a été pour moi la meilleure des formations. Elle nous ouvre l’esprit sur de nombreux métiers de la révolution numérique et nous permet rapidement d’intégrer des entreprises en tant que manager. La réalité de l’école étant en adéquation avec la réalité du marché.
Dans le passé, on m’a souvent reproché de ne pas être spécialiste dans un domaine précis : Marketing, Création, Entrepreneuriat, Développement etc.. c’est à dire de toucher à tout. Chacun son caractère, mais je sais que beaucoup des profils qui rejoignent cette école ont le même problème. Et il est bon de savoir que c’est un profil qui est devenu aujourd’hui très recherché.
Mon conseil aux actuels et futurs étudiants de l’IIM est de s’intéresser à tout. Regardez ce qui passionne les autres étudiants. Sortez du moule et ne cherchez pas spécialement à faire comme les autres. Vivez simplement cette aventure IIMienne comme vous le sentez. Profitez de ce que l’école a à vous offrir en passant par un investissement dans la vie associative qui vous fera rencontrer du monde, de nouveaux amis, peut-être même les meilleurs. Créez votre propre parcours, aimez ce que vous faites et ne lâchez jamais vos objectifs.
Informations mises à jour le 30 Juil 2021